blitz the gap (Combler le vide)

Étudiant.es aux cycles supérieurs : postulez pour participer au groupe de travail du Projet Living Data de l’ICEE « Blitz the Gap » (Combler le vide)
Responsables du groupe de travail : Laura Pollock (McGill), Katherine Hébert (McGill), David Hunt (McGill), Diane Srivastava (UBC)
Date du groupe de travail : 7 au 11 avril 2025 (à temps plein)
Lieu en personne : University of British Columbia à Vancouver et Université McGill à Montréal
Postulez ici : fermé
d’ici le 17 février 2025
Sous l’effet des changements climatiques et de la modification d’usage des terres, il est probable que la biodiversité canadienne soit en train de changer rapidement. Malheureusement, nous n’avons pas suffisamment de données pour détecter de manière fiable les tendances au sein de la plupart des espèces. Souvent, nous connaissons mal l’aire de répartition des espèces, leurs besoins précis en matière d’habitat à petite échelle ou encore les limites de leur aire de répartition au nord. Pourquoi est-ce important ? Parce qu’une gestion et une conservation efficaces nécessitent de bonnes informations spatiales sur les espèces, que ce soit pour l’évaluation des espèces en péril, la prévision des impacts des changements climatiques sur l’aire de répartition ou les calculs d’indicateurs de biodiversité et de services écosystémiques.
Heureusement, iNaturalist, une source de données en croissance rapide, offre la possibilité de combler certaines de ces lacunes. Cependant, la plupart des relevés d’iNaturalist se trouvent à proximité des routes et dans des zones peuplées (Geurts et al. 2023, Ecosphere 14 : e4582) et couvrent moins de diversité que l’échantillonnage traditionnel comme les collections d’herbiers (Eckert et al. 2024, Nature Communications 15 : 7586). La question est de savoir si nous pouvons orienter l’échantillonnage vers les endroits déficients en données.
L’objectif de ce groupe de travail est de mettre en place des « défis » pour aider les gens à déterminer où prélever des échantillons lors d’un bioblitz pancanadien « Blitz the Gap » qui aura lieu en juin (https://blitzthegap.org/, traduction libre : « Combler le vide »). Les étudiants et étudiantes travailleront en groupes pour décider du « défi » qu’iels souhaitent relever.
Chaque groupe pourra choisir son propre défi afin d’encourager les gens à échantillonner des lieux ou des espèces qui l’intéressent. Nous suggérerons quelques défis, tels que l’échantillonnage de zones oubliées et de taxons sous-échantillonnés ; la recherche d’espèces en dehors de leur aire de répartition connue ; le rééchantillonnage de sites qui ont été historiquement échantillonnés ; l’étude de zones clés pour la biodiversité ou de sites qui ont fait l’objet de projets de restauration — mais nous accueillerons toutes les idées de défis ! Les cartes de priorité d’échantillonnage résultantes seront hébergées sur notre site Internet ou intégrées directement dans un projet iNat.
Le groupe de travail se tiendra du 7 au 11 avril à l’University of British Columbia et à l’Université McGill, de manière simultanée. Toutes les dépenses (y compris les déplacements, l’hébergement et les repas) seront couvertes pour les étudiants et étudiantes des cycles supérieurs d’une université canadienne participant au site le plus près de leur emplacement. Bien entendu, les déplacements et l’hébergement ne seront pas couverts pour les étudiants et étudiantes vivant à Montréal ou dans le Lower Mainland de la Colombie-Britannique. Les étudiant.es travailleront avec leurs pair.es et avec des expert.es pour répondre à des questions clés sur la biodiversité. Ils et elles auront la possibilité de co-écrire des publications. Les étudiant.es pourront également être admissibles à deux crédits de cours.
C’est un excellent moyen de mettre vos compétences PLD au service de la préparation des données, de leur gestion et de la collaboration ! Des personnes expertes de l’utilisation d’iNat seront aussi présentes pour nous aider.
Pour postuler, les étudiants et étudiantes doivent être inscrit.es à un programme d’études supérieures en écologie, en environnement, en évolution ou dans une discipline connexe dans une université canadienne. Leur université doit être membre de l’ICEE (Institut canadien d’écologie et d’évolution) ou encore iels ou leur superviseur doivent être membres de la SCEE (Société canadienne d’écologie et d’évolution). La priorité la plus élevée sera accordée aux personnes qui ont déjà suivi les cours du Projet Living Data « Statistiques de synthèse pour l’écologie et l’évolution » et « Collaboration scientifique en écologie, évolution et sciences de l’environnement », viendront ensuite les personnes qui s’engagent à suivre ces cours à l’automne 2025. Avec ces deux cours, la participation à ce groupe de travail remplira la plupart des exigences pour le certificat de l’ICEE en science de synthèse et science collaborative.
Étudiant.es aux cycles supérieurs : postulez pour participer au groupe de travail du Projet Living Data de l’ICEE « Blitz the Gap » (Combler le vide)
Responsables du groupe de travail : Laura Pollock (McGill), Katherine Hébert (McGill), David Hunt (McGill), Diane Srivastava (UBC)
Date du groupe de travail : 7 au 11 avril 2025 (à temps plein)
Lieu en personne : University of British Columbia à Vancouver et Université McGill à Montréal
Postulez ici : fermé
d’ici le 17 février 2025
Sous l’effet des changements climatiques et de la modification d’usage des terres, il est probable que la biodiversité canadienne soit en train de changer rapidement. Malheureusement, nous n’avons pas suffisamment de données pour détecter de manière fiable les tendances au sein de la plupart des espèces. Souvent, nous connaissons mal l’aire de répartition des espèces, leurs besoins précis en matière d’habitat à petite échelle ou encore les limites de leur aire de répartition au nord. Pourquoi est-ce important ? Parce qu’une gestion et une conservation efficaces nécessitent de bonnes informations spatiales sur les espèces, que ce soit pour l’évaluation des espèces en péril, la prévision des impacts des changements climatiques sur l’aire de répartition ou les calculs d’indicateurs de biodiversité et de services écosystémiques.
Heureusement, iNaturalist, une source de données en croissance rapide, offre la possibilité de combler certaines de ces lacunes. Cependant, la plupart des relevés d’iNaturalist se trouvent à proximité des routes et dans des zones peuplées (Geurts et al. 2023, Ecosphere 14 : e4582) et couvrent moins de diversité que l’échantillonnage traditionnel comme les collections d’herbiers (Eckert et al. 2024, Nature Communications 15 : 7586). La question est de savoir si nous pouvons orienter l’échantillonnage vers les endroits déficients en données.
L’objectif de ce groupe de travail est de mettre en place des « défis » pour aider les gens à déterminer où prélever des échantillons lors d’un bioblitz pancanadien « Blitz the Gap » qui aura lieu en juin (https://blitzthegap.org/, traduction libre : « Combler le vide »). Les étudiants et étudiantes travailleront en groupes pour décider du « défi » qu’iels souhaitent relever.
Chaque groupe pourra choisir son propre défi afin d’encourager les gens à échantillonner des lieux ou des espèces qui l’intéressent. Nous suggérerons quelques défis, tels que l’échantillonnage de zones oubliées et de taxons sous-échantillonnés ; la recherche d’espèces en dehors de leur aire de répartition connue ; le rééchantillonnage de sites qui ont été historiquement échantillonnés ; l’étude de zones clés pour la biodiversité ou de sites qui ont fait l’objet de projets de restauration — mais nous accueillerons toutes les idées de défis ! Les cartes de priorité d’échantillonnage résultantes seront hébergées sur notre site Internet ou intégrées directement dans un projet iNat.
Le groupe de travail se tiendra du 7 au 11 avril à l’University of British Columbia et à l’Université McGill, de manière simultanée. Toutes les dépenses (y compris les déplacements, l’hébergement et les repas) seront couvertes pour les étudiants et étudiantes des cycles supérieurs d’une université canadienne participant au site le plus près de leur emplacement. Bien entendu, les déplacements et l’hébergement ne seront pas couverts pour les étudiants et étudiantes vivant à Montréal ou dans le Lower Mainland de la Colombie-Britannique. Les étudiant.es travailleront avec leurs pair.es et avec des expert.es pour répondre à des questions clés sur la biodiversité. Ils et elles auront la possibilité de co-écrire des publications. Les étudiant.es pourront également être admissibles à deux crédits de cours.
C’est un excellent moyen de mettre vos compétences PLD au service de la préparation des données, de leur gestion et de la collaboration ! Des personnes expertes de l’utilisation d’iNat seront aussi présentes pour nous aider.
Pour postuler, les étudiants et étudiantes doivent être inscrit.es à un programme d’études supérieures en écologie, en environnement, en évolution ou dans une discipline connexe dans une université canadienne. Leur université doit être membre de l’ICEE (Institut canadien d’écologie et d’évolution) ou encore iels ou leur superviseur doivent être membres de la SCEE (Société canadienne d’écologie et d’évolution). La priorité la plus élevée sera accordée aux personnes qui ont déjà suivi les cours du Projet Living Data « Statistiques de synthèse pour l’écologie et l’évolution » et « Collaboration scientifique en écologie, évolution et sciences de l’environnement », viendront ensuite les personnes qui s’engagent à suivre ces cours à l’automne 2025. Avec ces deux cours, la participation à ce groupe de travail remplira la plupart des exigences pour le certificat de l’ICEE en science de synthèse et science collaborative.